Depuis deux ans, les turbulences s’intensifient au point que les traits caractéristiques du régime paraissent remis en question.
Quatre premiers ministres qui se succèdent sur la seule année 2024, une dissolution surprise, une motion de censure votée, une Assemblée nationale qui ressemble à un chahut permanent…
Ces désordres sont-ils passagers ou traduisent-ils une dégradation plus profonde ?